« Uber, si on y va, c’est que nous n’avons pas d’alternative »
« Uber, si on y va, c’est que nous n’avons pas d’alternative »
Les plateformes de VTC attirent un très grand nombre de jeunes non diplômés vivant dans des quartiers populaires et qui rencontrent des difficultés à trouver un emploi. " C'est difficile de s'en sortir. Ce n'est pas décent de travailler cinquante heures par semaine pour toucher à peine plus d'un smic.