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BHL : histoire d'un vampire des carpettes qui aimerait bien que le sang coule en Syrie

3 Septembre 2013 , Rédigé par Admin

BHL se fait allumer par une journaliste qui en a !!! ...Une vidéo à regarder et à faire circuler sans modération...

http://www.youtube.com/watch?v=efXNiFPHkfY

Source

News360x

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Rav Ron Chaya – Bientôt La Fin

3 Septembre 2013 , Rédigé par Admin

Cours de thora pour comprendre la clef que représente ISRAËL dans les événements actuels :

à voir...

http://resistanceauthentique.wordpress.com/2013/09/03/rav-ron-chaya-bientot-la-fin/

Publié par Z le 3 septembre 2013 dans général

revue de presse 2013 Z@laresistance

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Ovnis : les meilleures observations mondiales du mois d'août 2013

3 Septembre 2013 , Rédigé par Admin

Voir la vidéo sur le lien ci-dessous

http://0z.fr/iJTmo

Par wikistrike.com - Publié dans : Insolite, étrange

Source originale

http://www.youtube.com/user/AnonymousFO

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Un exercice d'alerte général programmé pour tester la possibilité d'une panne du réseau électrique en Amérique du Nord

3 Septembre 2013 , Rédigé par Admin

Voila une information assez révélatrice de ce qui pourrait nous attendre en fin d'année et qui arrive comme par hasard au moment opportun.

Lire l'article complet sur le lien ci-dessous:

http://fawkes-news.blogspot.fr/2013/09/un-exercice-dalerte-general-programme.html#more

Source:Off grid survival
Traduction: Bistro Bar Blog

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Découverte de deux planètes-océans

3 Septembre 2013 , Rédigé par Admin

D’ici quelques mois, la barre symbolique des mille planètes extra-solaires devrait être franchie (elles sont 884 confirmées à l’heure où ces lignes sont écrites).

Depuis la découverte de la première d’entre elles en 1995 par les astronomes suisses Michel Mayor et Didier Queloz, le rythme des trouvailles n’a cessé de s’accélérer et il n’est pas près de se calmer car la détection des exoplanètes, d’artisanale, est devenue une activité quasi industrielle : plus de 2 700 candidates repérées par le télescope spatial Kepler de la NASA attendent la confirmation officielle de leur existence ! Parmi les nouveaux venus, la dernière vedette en date est le système planétaire tournant autour de l’étoile Kepler-62, un astre distant de 1 200 années-lumière. Pas moins de cinq planètes le composent comme le révèle une étude publiée vendredi 3 mai dans Science. Mais ce n’est pas là le plus palpitant. Deux de ces exoplanètes, Kepler-62e et f, intéressent au plus haut point les chercheurs parce qu’elles sont situées dans ce qui constitue le Graal de l’astrobiologie, la « zone d’habitabilité ».

Comme on peut aisément le constater dans notre système solaire, toutes les orbites autour du Soleil ne se valent pas, puisque seule la Terre a la chance de disposer à sa surface d’eau liquide, élément indispensable à la vie telle que nous la connaissons. Si notre globe avait été un peu plus proche de notre étoile, et ce de seulement quelques millions de kilomètres (sur les 150 qui le séparent du Soleil), il y a fort à parier qu’il aurait connu le sort de Vénus où des températures trop élevées ont provoqué un effet de serre galopant qui a asséché la planète. A l’inverse, si la Terre avait été trop éloignée du Soleil, elle n’aurait pas reçu assez de chaleur et serait restée un monde glacé. Quand ils décrivent la zone d’habitabilité, les astronomes ont donc coutume de faire référence au conte de Boucle d’or où l’héroïne, entrée dans la maison des trois ours, se délecte du seul bol de bouillie comestible, celui qui n’est ni trop chaud ni trop froid… Précisons que la présence d’eau liquide à la surface d’une planète ne dépend pas seulement de la distance à l’étoile mais aussi de l’atmosphère de la planète elle-même : ainsi, la petite Mars, qui est en théorie dans la zone d’habitabilité du Soleil, ne dispose plus d’eau liquide car elle n’a pu conserver très longtemps une atmosphère suffisamment consistante.

Revenons à Kepler-62e et f. Toutes deux un peu plus grosses que la Terre (respectivement 1,6 et 1,4 rayon terrestre), elles sont également plus proches de leur étoile que nous ne le sommes de la nôtre puisqu’elles en font le tour l’une en 122 jours, l’autre en 267. Cela ne signifie pas pour autant que les températures y sont très élevées car Kepler-62 étant moins chaude que notre Soleil, sa zone d’habitabilité est plus proche du centre. Toutes ces caractéristiques (taille relativement modeste, situation en zone d’habitabilité, températures clémentes) suffisent à faire de ces deux planètes un sujet de choix pour les astronomes. Mais il y a mieux encore. Dans un article soumis à The Astrophysical Journal, trois chercheurs estiment en effet que Kepler-62e et f ont toutes les chances d’être… des planètes-océans.

Derrière cette terminologie poétique, se cache un processus de formation assez complexe. L’idée est qu’il s’agit de planètes apparues assez loin de leur étoile et qui possédaient à l’origine une épaisse croûte de glace à leur surface. Après leur naissance, en raison d’interactions gravitationnelles avec leur environnement, ces astres ont migré vers l’intérieur de leur système solaire. En s’approchant de leur étoile, ils se sont réchauffés et ces boules de glace se sont mises à fondre tels des esquimaux en été. Au terme du processus, un océan global a recouvert toute la surface de la planète, comme dans le film Waterworld. La profondeur de cet océan étant au minimum de plusieurs dizaines de kilomètres, aucune île ne surnage, aucun continent n’apparaît.

Comme l’explique Lisa Kaltenegger, astronome à l’Institut Max Planck (Allemagne) et une des trois signataires de l’article, « ces planètes ne ressemblent à rien de ce que nous connaissons dans notre Système solaire. (…) Il se peut qu’il y ait de la vie là-bas, mais peut-elle être basée sur la technologie comme la nôtre ? Si vie il y avait sur ces mondes, elle serait sous-marine, sans accès facile aux métaux, à l’électricité, au feu ou à la métallurgie. Néanmoins, ces mondes resteront de magnifiques planètes bleues entourant une étoile orange, et peut-être la vie fera-t-elle preuve d’une ingéniosité surprenante pour accéder à un stade technologique. » Avant de se projeter si loin, il faudra avoir confirmation définitive du caractère « océanique » de ces deux exoplanètes, ce qui se fera probablement avec l’entrée en service des télescopes de la prochaine génération (James Webb Telescope, European Extremely Large Telescope).

Pour terminer ce billet, je voudrais évoquer un souvenir. En juillet 2003, j’ai couvert pour le compte du Monde un colloque international consacré aux exoplanètes, organisé à l’Institut d’astrophysique de Paris. C’est à cette occasion que j’ai pour la première fois entendu parler du concept de planète-océan lors d’un exposé passionnant donné par le chercheur français Alain Léger, lequel y résumait des travaux qui font aujourd’hui référence. A l’époque, j’ai vu cette étude comme un merveilleux exercice de style : tout cela ne risquait-il pas de rester théorique ? J’avais tort. Dix ans après ce colloque, je ne savoure que mieux la beauté de cette prédiction, qui fait tout le charme de la science.

Source : : Passeur de sciences

Par wikistrike.com - Publié dans : Astronomie - Espace

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Ces krachs qui nous menacent…

2 Septembre 2013 , Rédigé par Admin

Un vent mauvais en provenance des marchés financiers recommence à souffler, et pourrait bien balayer les espoirs de reprise. Dans le monde feutré et secret des banquiers centraux, une chose se pointe à l’horizon : la fin annoncée de l’argent facile, abondant et bon marché – aux Etats-Unis d’abord et demain en Europe – augure de sérieuses secousses financières, en Bourse, sur les matières premières comme sur les marchés des emprunts d’Etat.

Avec une conséquence très concrète, les partenaires européens ne pourront plus s’endetter à prix d’ami auprès des investisseurs. Voici venu le temps des krachs.

La fin de l’argent facile aux Etats-Unis

Rassurer, rassurer et encore rassurer. Les banquiers, les traders, les hedge funds, les ménages, les entreprises, les dirigeants politiques… Ben Bernanke, le président de la banque centrale américaine, passe son temps à tranquilliser la planète. Comme une sorte de mantra. Mais, dans son bureau lambrissé dominant l’imposante Constitution Avenue à Washington, le patron de la Fed compte les jours qui le séparent de la fin de son mandat, début 2014. Peut-être même consigne-t-il ses doutes et ses peurs dans le petit journal qu’il tient depuis des années et qu’il range scrupuleusement tous les soirs dans un des tiroirs de sa table de travail.

Car ce professeur d’économie, spécialiste de la grande dépression des années 30, sait pertinemment que la période qui s’ouvre est hautement périlleuse. Jamais le monde économique n’aura été aussi suspendu au pilotage de la politique monétaire américaine. En ouvrant en grand les vannes de la liquidité au lendemain de la faillite de Lehman Brothers, Ben Bernanke a sauvé le système bancaire américain – et mondial – d’une cascade de faillites. Depuis décembre 2008, les taux de la banque centrale américaine qui fixent les conditions auxquelles les banques se refinancent sont proches de zéro (0,25 %). Du jamais-vu.

Et, depuis la fin 2012, elle s’est engagée à acheter chaque mois pour 85 milliards de dollars de bons du Trésor – soit 0,5 % du PIB – afin de peser sur les taux d’intérêt à long terme et de sauver le marché de l’immobilier. Résultat, en cinq ans, le bilan de la banque centrale américaine a triplé, pour atteindre plus de 3 000 milliards de dollars. Un niveau record. Sauf que, avec la stabilisation de l’immobilier et les signes de reprise, la Fed n’a plus vraiment de raison de continuer à se montrer aussi généreuse. En langage de trader, elle doit "normaliser" son action.
"La Fed n’est jamais sortie d’une politique monétaire extrêmement accommodante sans causer de graves dégâts", avertit Bruno Cavalier, l’économiste d’Oddo Securities. Dès l’automne, elle pourrait commencer à réduire ses emplettes : 83 % des experts sondés par L’Expansion cet été s’attendent à un fort repli des achats de bons du Trésor par la Fed dans les douze prochains mois. Comme toujours, pour rassurer, Ben Bernanke a promis de laisser les taux directeurs inchangés tant que le chômage ne serait pas redescendu sous la barre des 6,5 %. Un cadeau empoisonné.
En régime de croisière, le taux d’intervention d’une banque centrale doit être proche de la croissance économique nominale : actuellement, entre 3 et 4 % pour les Etats-Unis. "Plus l’écart est important, plus le krach sera violent", conclut Patrick Legland, le directeur de la recherche de la Société générale.

L’inévitable éclatement de la bulle obligataire

Quel est le juste prix ? Rien à voir avec l’émission de télévision du même nom. Non, le juste prix, c’est le nouveau jeu à la mode chez les assureurs-vie et les gérants de fonds. "A partir du moment où la Réserve fédérale va cesser d’intervenir aussi massivement sur le marché obligataire américain, les rendements vont retrouver des niveaux normaux", explique doctement Eric Chaney, l’économiste d’Axa Investment Management.

Mais c’est quoi, aujourd’hui, un taux normal des emprunts d’Etat ? Bruno Cavalier, qui a planché sur des séries statistiques sur une très longue période aux Etats-Unis, estime que le "taux d’équilibre" des bons du Trésor américain à dix ans est proche de 5 %, voire de 5,5 %, contre 2,5 % aujourd’hui. Les experts sondés par L’Expansion sont unanimes : il faut s’attendre en moyenne à une hausse de 0,5 à 1 % des taux longs américains dans l’année qui vient. Cette tempête sur les marchés obligataires touchera évidemment les côtes européennes. Avec le risque de voir relancée la spéculation sur les titres de dettes souveraines des pays les plus fragiles de la zone, Espagne et Italie en tête. "Les marchés obligataires européens sont tellement morcelés qu’une étincelle peut rallumer le brasier de la crise de la zone euro", reconnaît Andrew Bosomworth, responsable de la gestion européenne de Pimco en Allemagne.

Des banques exposées au risque obligataire

Un krach bancaire peut en cacher un autre. Aussitôt celui des subprimes purgé, un autre problème se profile : "Un krach des emprunts souverains ferait des dégâts considérables dans les bilans des banques. Les Etats et les banques marchent maintenant main dans la main. Pour le meilleur et… pour le pire. Si dans le couple l’un vacille, il emporte l’autre dans sa chute. C’est un risque systémique au carré", s’inquiète Bruno Colmant, professeur à l’université de Louvain et ancien président de la Bourse de Bruxelles.

En 2008, les Etats ont renfloué les banques, et certains d’entre eux en sont devenus actionnaires. Mais, depuis 2011, les établissements de crédit sauvés des eaux jouent à leur tour les bons samaritains et souscrivent massivement aux dettes émises par leur "partenaire étatique". Juste retour d’ascenseur, mais attention aux effets secondaires : 90 % des obligations souveraines détenues par les banques espagnoles (152 milliards d’euros à juin 2012) proviennent de leur propre Etat. Idem pour les banques italiennes aux coffres gorgés de bons romains (184 milliards d’euros). Une légère tension sur les titres "souverains" suffit à fragiliser les banques.

"Dans les bilans bancaires figurent aussi d’autres actifs risqués et des créances douteuses consenties à des ménages et à des entreprises. Les banques ont réduit leur engagement, mais restent très exposées", constate Eric Jondeau, professeur de finance à l’université de Lausanne. Sur la foi de ses calculs, la Deutsche Bank aligne des actifs (portefeuille de titres, de créances, de prêts divers et variés…) 53 fois supérieurs à ses fonds propres. Un tel "effet de levier" – comme disent les financiers – peut-il se transformer en "bail à céder" ? Sans aller jusque-là, 52 % du panel interrogé par L’Expansion jugent probable une hausse du risque systémique.

Retour à la réalité sur les places boursières

Les autres places européennes, et même les actions américaines, apparaissent exposées à un accident de parcours. Ces "bearish" – pessimistes, dans le jargon de Wall Street – avancent à peu près tous le même argument : les liquidités déversées en abondance par les banques centrales sur les marchés financiers se jettent comme dans un entonnoir sur les actions. Portés par ce courant acheteur, leurs prix montent. De la mécanique des fluides assez logique, mais pas forcément très saine. Si les banques centrales commencent à fermer le robinet à liquidités ? Si la source se tarit ? Alors, la vérité bête et méchante des profits refait surface : pour s’apprécier en Bourse, les sociétés cotées doivent faire des bénéfices.

"Les actions européennes ont dépassé d’environ 10 % le niveau que justifieraient leurs fondamentaux", calcule Eric Chaney. Sur le premier trimestre 2013, les profits du CAC 40 ont chuté de 21 %. Les analystes financiers chargés de faire des prévisions sur les prochains exercices attendent en 2014 une hausse des bénéfices de 14 %. Pas si mal, mais ces pythies bien versatiles ne cessent de réviser à la baisse leurs estimations pour les grandes valeurs européennes. "Il faudra se contenter de 5 à 6 % de croissance bénéficiaire", tranche Hervé Goulletquer, économiste au Crédit agricole.

Le remake de la crise asiatique de 1997

A l’été 1997, il aura suffi que quelques grands fonds d’investissement retirent brusquement et massivement leurs billes de Thaïlande pour que l’ensemble des tigres et des dragons asiatiques s’enrhument. Certains experts redoutent aujourd’hui un remake de la crise asiatique de la fin des années 90. En cause, ces capitaux volatils qui peuvent plier bagage du jour au lendemain. Il faut dire que les marchés financiers émergents ont largement profité ces dernières années des largesses des grandes banques centrales occidentales.

Quoi de plus facile que de s’endetter à moins de 1 % aux Etats-Unis et en Europe pour placer ensuite ce pactole sur des actifs exotiques aux rendements prometteurs ? 215 milliards de dollars de capitaux auraient afflué sur ces places émergentes ces deux dernières années, d’après les stratèges de la Banque BBVA à Hongkong. Evidemment, si les actifs sans risque comme les obligations d’Etat américaines ou allemandes sont à l’avenir mieux rémunérés, plus besoin d’aller chercher du rendement dans des placements exotiques.

De fait, quelque 97 milliards de dollars ont déjà quitté les marchés émergents depuis le mois de mai (65 milliards ont déserté les seuls marchés obligataires). Notre panel d’experts estime à plus de 40 % la probabilité d’assister à une forte correction sur les marchés émergents au cours des douze prochains mois. L’Inde, l’Indonésie et l’Ukraine seraient les pays les plus risqués.

Les matières premières dépendantes de la Chine

Et si l’avenir du cuivre, du fer, de l’or ou du pétrole se lisait dans une boule de verre made in Chine ? Tous les experts en matières premières tournent leur regard vers la conjoncture économique chinoise, devenue leur mètre étalon absolu. Et, mauvaise nouvelle, tous les indicateurs y signalent un essoufflement de la croissance. Finies, les performances à deux chiffres, place au modeste standard des 6 ou 7 %.

Selon la Société générale, un tel atterrissage économique produirait une baisse de 30 à 40 % du prix des métaux de base et presque autant du pétrole. L’or a déjà dégringolé. L’ogre chinois absorbe 45 % de l’aluminium mondial, autant pour le cuivre, et il engloutit 60 % du soja. Aussitôt arrivé à satiété, il fera sans nul doute baisser toutes les cotations ou presque. "Même le prix du blé devient dépendant de la Chine, qui sera le premier importateur mondial. Au congrès de la FNSEA, en mars dernier, j’ai conseillé aux céréaliers de vendre leur stock", témoigne Philippe Chalmin, spécialiste des matières premières et professeur d’économie à Dauphine. Même les greniers de la Beauce dépendent de Pékin.

Par Franck Dedieu et Béatrice Mathieu – L’expansion

Publié par Z le 2 septembre 2013 dans général

http://resistanceauthentique.wordpress.com/2013/09/02/ces-krachs-qui-nous-menacent/

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Fukushima : une faillite aux conséquences incalculables

2 Septembre 2013 , Rédigé par Admin

Le 11 mars 2011, quand la centrale nucléaire Fukushima Daiichi a été ravagée par une déferlante de 15 mètres, que le monde entier se faisait un sang d'encre, jusqu'à la Maison-Blanche, le président de la compagnie Tokyo Electric Power (Tepco), lui, était en Chine et le directeur général quelque part en visite de tourisme à l'autre bout du pays. Tout, depuis, fut à l'avenant : une succession de malchances, d'erreurs, de mensonges et manquements de Tepco et des autorités, aggravant le drame. Deux ans et demi après cet accident sans précédent, même s'il faut reconnaître que la situation aurait été pour n'importe qui extrêmement difficile à gérer, Tepco continue d'enchaîner les négligences et les bourdes, comme le montre la série actuelle de fuites d'eau hautement radioactive.


Une faillite collective

Même l'agence indépendante de régulation nucléaire paraît parfois impuissante. Ses membres s'en prennent vertement à Tepco. Mais eux aussi échouent à appeler un chat un chat. Son président, Shunichi Tanaka, l'a d'ailleurs reconnu et l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) est intervenue pour lui conseiller d'"élaborer un plan de communication pour expliquer la signification de chaque problème en termes de sûreté". "Cela permettrait d'éviter d'envoyer des messages contradictoires aux médias et au public", a écrit noir sur blanc l'AIEA.

Tepco porte une lourde responsabilité, mais en réalité tous les acteurs du secteur, depuis des décennies et a fortiori depuis le tsunami, ont failli : "L'erreur originelle a été de penser qu'un accident critique ne pouvait pas survenir au Japon", reconnaît un ex-directeur de la centrale saccagée de Fukushima. Ce "mythe de la sûreté" a empêché d'imaginer ce qui s'est effectivement produit (le pire) et de prendre des dispositions suffisantes pour que cela n'arrive pas. Désormais, il faut vivre avec cette crise qui durera au moins quatre décennies avec un risque permanent d'une nouvelle catastrophe naturelle.

Source

Publié par Paul

http://echelledejacob.blogspot.fr/2013/09/fukushima-une-faillite-aux-consequences.html#more

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Les changements climatiques sont commencés - les causes réelles

2 Septembre 2013 , Rédigé par Admin

à lire car les implications son inimaginables

Lien direct de l'article

http://0z.fr/cKMzz

Par Ben Garneau Publié dans : Environnement - Climat

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A lire La Revue de Presse par Pierre Jovanovic du 2 au 6 septembre 2013

2 Septembre 2013 , Rédigé par Admin

A lire La Revue de Presse par Pierre Jovanovic du 2 au 6 septembre 2013 en cliquant sur le lien suivant:

www.jovanovic.com

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