Ma lettre ouverte au Président de l'Indonésie au sujet de Serge Atlaoui
Monsieur son Excellence le Président Joko Widodo,
Comme vous le savez, je vis en France depuis plusieurs années. J’ai cette chance incroyable d’à la fois puiser dans la fierté de mes racines indonésiennes et la richesse de ma culture natale javanaise, et vivre dans un pays, berceau des droits de l’Homme, qui est une source d’inspiration pour la femme et l’artiste que je suis.
Je sais à quel point les Indonésiens sont sensibles aux ravages de la drogue dans le pays et la région, et je ne peux que m’associer à leur légitime indignation à ce sujet. Mais je suis également convaincue que la peine de mort n’est en aucune façon une solution pour faire baisser la criminalité ou de nous protéger des maux qui rongent notre société. Elle est pour moi un échec pour l’humanité et aux antithèses des valeurs de justice, d’équité et de fraternité qui unissent la communauté des Hommes. La justice ne peut pas être la mort, quelque-soit le crime. J’en suis viscéralement convaincue.
La condamnation de Serge Atlaoui provoque un fort émoi en Europe et tout particulièrement en France. Je partage cette émotion car de nombreuses zones d’ombres sont clairement apparues dans l’affaire judiciaire concernant Serge Atlaoui, doutes qui rendent de facto la décision d’une condamnation à la peine capitale incompréhensible alors que de nombreuses incertitudes résident dans ce dossier. De surcroit, j’ai l’intime conviction que le cri d’innocence lancé par cet homme est un cri de sincérité et de vérité.
Votre élection a été vécue en Indonésie mais aussi dans le monde entier, comme l’avènement d’une société plus bienveillante, dans un pays parmi les plus vastes et les plus importants du monde. En Europe, l’Indonésie est dorénavant associée à un pays qui condamne des hommes à la mort. Mon cœur saigne à l’idée que c’est cette image qui est ainsi envoyée au monde alors que l’Indonésie est un pays tellement ouvert, tolérant et fraternel.
Encore une fois, je ne me permettrais nullement de remettre en cause la souveraineté des lois de l’Indonésie et de l’exigence de ses citoyens de combattre avec force les fléaux de la drogue. Mais je ne peux me résoudre à voir un homme qui crie son innocence être condamné à la mort, à voir son épouse et sa famille rongées par la douleur. Notre monde vaut mieux que cela.
Vous avez la possibilité de rendre ce monde meilleur, moins violent, moins sanguinaire, moins brutal et plus juste. Je fais appel aux valeurs d’humanisme qui jalonnent votre combat personnel et la fille de Java que je suis vous implore d’accorder à Serge Atlaoui une grâce présidentielle.
Avec tout mon respect,
Anggun.
Ma lettre ouverte au Président de l'Indonésie au sujet de Serge Atlaoui
Monsieur son Excellence le Président Joko Widodo,
Comme vous le savez, je vis en France depuis plusieurs années. J’ai cette chance incroyable d’à la fois puiser dans la fierté de mes racines indonésiennes et la richesse de ma culture natale javanaise, et vivre dans un pays, berceau des droits de l’Homme, qui est une source d’inspiration pour la femme et l’artiste que je suis.
Je sais à quel point les Indonésiens sont sensibles aux ravages de la drogue dans le pays et la région, et je ne peux que m’associer à leur légitime indignation à ce sujet. Mais je suis également convaincue que la peine de mort n’est en aucune façon une solution pour faire baisser la criminalité ou de nous protéger des maux qui rongent notre société. Elle est pour moi un échec pour l’humanité et aux antithèses des valeurs de justice, d’équité et de fraternité qui unissent la communauté des Hommes. La justice ne peut pas être la mort, quelque-soit le crime. J’en suis viscéralement convaincue.
La condamnation de Serge Atlaoui provoque un fort émoi en Europe et tout particulièrement en France. Je partage cette émotion car de nombreuses zones d’ombres sont clairement apparues dans l’affaire judiciaire concernant Serge Atlaoui, doutes qui rendent de facto la décision d’une condamnation à la peine capitale incompréhensible alors que de nombreuses incertitudes résident dans ce dossier. De surcroit, j’ai l’intime conviction que le cri d’innocence lancé par cet homme est un cri de sincérité et de vérité.
Votre élection a été vécue en Indonésie mais aussi dans le monde entier, comme l’avènement d’une société plus bienveillante, dans un pays parmi les plus vastes et les plus importants du monde. En Europe, l’Indonésie est dorénavant associée à un pays qui condamne des hommes à la mort. Mon cœur saigne à l’idée que c’est cette image qui est ainsi envoyée au monde alors que l’Indonésie est un pays tellement ouvert, tolérant et fraternel.
Encore une fois, je ne me permettrais nullement de remettre en cause la souveraineté des lois de l’Indonésie et de l’exigence de ses citoyens de combattre avec force les fléaux de la drogue. Mais je ne peux me résoudre à voir un homme qui crie son innocence être condamné à la mort, à voir son épouse et sa famille rongées par la douleur. Notre monde vaut mieux que cela.
Vous avez la possibilité de rendre ce monde meilleur, moins violent, moins sanguinaire, moins brutal et plus juste. Je fais appel aux valeurs d’humanisme qui jalonnent votre combat personnel et la fille de Java que je suis vous implore d’accorder à Serge Atlaoui une grâce présidentielle.
Avec tout mon respect,
Anggun.
Ma lettre ouverte au Président de l'Indonésie au sujet de Serge Atlaoui
Monsieur son Excellence le Président Joko Widodo,
Comme vous le savez, je vis en France depuis plusieurs années. J’ai cette chance incroyable d’à la fois puiser dans la fierté de mes racines indonésiennes et la richesse de ma culture natale javanaise, et vivre dans un pays, berceau des droits de l’Homme, qui est une source d’inspiration pour la femme et l’artiste que je suis.
Je sais à quel point les Indonésiens sont sensibles aux ravages de la drogue dans le pays et la région, et je ne peux que m’associer à leur légitime indignation à ce sujet. Mais je suis également convaincue que la peine de mort n’est en aucune façon une solution pour faire baisser la criminalité ou de nous protéger des maux qui rongent notre société. Elle est pour moi un échec pour l’humanité et aux antithèses des valeurs de justice, d’équité et de fraternité qui unissent la communauté des Hommes. La justice ne peut pas être la mort, quelque-soit le crime. J’en suis viscéralement convaincue.
La condamnation de Serge Atlaoui provoque un fort émoi en Europe et tout particulièrement en France. Je partage cette émotion car de nombreuses zones d’ombres sont clairement apparues dans l’affaire judiciaire concernant Serge Atlaoui, doutes qui rendent de facto la décision d’une condamnation à la peine capitale incompréhensible alors que de nombreuses incertitudes résident dans ce dossier. De surcroit, j’ai l’intime conviction que le cri d’innocence lancé par cet homme est un cri de sincérité et de vérité.
Votre élection a été vécue en Indonésie mais aussi dans le monde entier, comme l’avènement d’une société plus bienveillante, dans un pays parmi les plus vastes et les plus importants du monde. En Europe, l’Indonésie est dorénavant associée à un pays qui condamne des hommes à la mort. Mon cœur saigne à l’idée que c’est cette image qui est ainsi envoyée au monde alors que l’Indonésie est un pays tellement ouvert, tolérant et fraternel.
Encore une fois, je ne me permettrais nullement de remettre en cause la souveraineté des lois de l’Indonésie et de l’exigence de ses citoyens de combattre avec force les fléaux de la drogue. Mais je ne peux me résoudre à voir un homme qui crie son innocence être condamné à la mort, à voir son épouse et sa famille rongées par la douleur. Notre monde vaut mieux que cela.
Vous avez la possibilité de rendre ce monde meilleur, moins violent, moins sanguinaire, moins brutal et plus juste. Je fais appel aux valeurs d’humanisme qui jalonnent votre combat personnel et la fille de Java que je suis vous implore d’accorder à Serge Atlaoui une grâce présidentielle.
Avec tout mon respect,
Anggun.
Ma lettre ouverte au Président de l'Indonésie au sujet de Serge Atlaoui
Monsieur son Excellence le Président Joko Widodo,
Comme vous le savez, je vis en France depuis plusieurs années. J’ai cette chance incroyable d’à la fois puiser dans la fierté de mes racines indonésiennes et la richesse de ma culture natale javanaise, et vivre dans un pays, berceau des droits de l’Homme, qui est une source d’inspiration pour la femme et l’artiste que je suis.
Je sais à quel point les Indonésiens sont sensibles aux ravages de la drogue dans le pays et la région, et je ne peux que m’associer à leur légitime indignation à ce sujet. Mais je suis également convaincue que la peine de mort n’est en aucune façon une solution pour faire baisser la criminalité ou de nous protéger des maux qui rongent notre société. Elle est pour moi un échec pour l’humanité et aux antithèses des valeurs de justice, d’équité et de fraternité qui unissent la communauté des Hommes. La justice ne peut pas être la mort, quelque-soit le crime. J’en suis viscéralement convaincue.
La condamnation de Serge Atlaoui provoque un fort émoi en Europe et tout particulièrement en France. Je partage cette émotion car de nombreuses zones d’ombres sont clairement apparues dans l’affaire judiciaire concernant Serge Atlaoui, doutes qui rendent de facto la décision d’une condamnation à la peine capitale incompréhensible alors que de nombreuses incertitudes résident dans ce dossier. De surcroit, j’ai l’intime conviction que le cri d’innocence lancé par cet homme est un cri de sincérité et de vérité.
Votre élection a été vécue en Indonésie mais aussi dans le monde entier, comme l’avènement d’une société plus bienveillante, dans un pays parmi les plus vastes et les plus importants du monde. En Europe, l’Indonésie est dorénavant associée à un pays qui condamne des hommes à la mort. Mon cœur saigne à l’idée que c’est cette image qui est ainsi envoyée au monde alors que l’Indonésie est un pays tellement ouvert, tolérant et fraternel.
Encore une fois, je ne me permettrais nullement de remettre en cause la souveraineté des lois de l’Indonésie et de l’exigence de ses citoyens de combattre avec force les fléaux de la drogue. Mais je ne peux me résoudre à voir un homme qui crie son innocence être condamné à la mort, à voir son épouse et sa famille rongées par la douleur. Notre monde vaut mieux que cela.
Vous avez la possibilité de rendre ce monde meilleur, moins violent, moins sanguinaire, moins brutal et plus juste. Je fais appel aux valeurs d’humanisme qui jalonnent votre combat personnel et la fille de Java que je suis vous implore d’accorder à Serge Atlaoui une grâce présidentielle.
Avec tout mon respect,
Anggun.
Ma lettre ouverte au Président de l'Indonésie au sujet de Serge Atlaoui
Monsieur son Excellence le Président Joko Widodo,
Comme vous le savez, je vis en France depuis plusieurs années. J’ai cette chance incroyable d’à la fois puiser dans la fierté de mes racines indonésiennes et la richesse de ma culture natale javanaise, et vivre dans un pays, berceau des droits de l’Homme, qui est une source d’inspiration pour la femme et l’artiste que je suis.
Je sais à quel point les Indonésiens sont sensibles aux ravages de la drogue dans le pays et la région, et je ne peux que m’associer à leur légitime indignation à ce sujet. Mais je suis également convaincue que la peine de mort n’est en aucune façon une solution pour faire baisser la criminalité ou de nous protéger des maux qui rongent notre société. Elle est pour moi un échec pour l’humanité et aux antithèses des valeurs de justice, d’équité et de fraternité qui unissent la communauté des Hommes. La justice ne peut pas être la mort, quelque-soit le crime. J’en suis viscéralement convaincue.
La condamnation de Serge Atlaoui provoque un fort émoi en Europe et tout particulièrement en France. Je partage cette émotion car de nombreuses zones d’ombres sont clairement apparues dans l’affaire judiciaire concernant Serge Atlaoui, doutes qui rendent de facto la décision d’une condamnation à la peine capitale incompréhensible alors que de nombreuses incertitudes résident dans ce dossier. De surcroit, j’ai l’intime conviction que le cri d’innocence lancé par cet homme est un cri de sincérité et de vérité.
Votre élection a été vécue en Indonésie mais aussi dans le monde entier, comme l’avènement d’une société plus bienveillante, dans un pays parmi les plus vastes et les plus importants du monde. En Europe, l’Indonésie est dorénavant associée à un pays qui condamne des hommes à la mort. Mon cœur saigne à l’idée que c’est cette image qui est ainsi envoyée au monde alors que l’Indonésie est un pays tellement ouvert, tolérant et fraternel.
Encore une fois, je ne me permettrais nullement de remettre en cause la souveraineté des lois de l’Indonésie et de l’exigence de ses citoyens de combattre avec force les fléaux de la drogue. Mais je ne peux me résoudre à voir un homme qui crie son innocence être condamné à la mort, à voir son épouse et sa famille rongées par la douleur. Notre monde vaut mieux que cela.
Vous avez la possibilité de rendre ce monde meilleur, moins violent, moins sanguinaire, moins brutal et plus juste. Je fais appel aux valeurs d’humanisme qui jalonnent votre combat personnel et la fille de Java que je suis vous implore d’accorder à Serge Atlaoui une grâce présidentielle.
Avec tout mon respect,
Anggun.
Ma lettre ouverte au Président de l'Indonésie au sujet de Serge Atlaoui
Monsieur son Excellence le Président Joko Widodo,
Comme vous le savez, je vis en France depuis plusieurs années. J’ai cette chance incroyable d’à la fois puiser dans la fierté de mes racines indonésiennes et la richesse de ma culture natale javanaise, et vivre dans un pays, berceau des droits de l’Homme, qui est une source d’inspiration pour la femme et l’artiste que je suis.
Je sais à quel point les Indonésiens sont sensibles aux ravages de la drogue dans le pays et la région, et je ne peux que m’associer à leur légitime indignation à ce sujet. Mais je suis également convaincue que la peine de mort n’est en aucune façon une solution pour faire baisser la criminalité ou de nous protéger des maux qui rongent notre société. Elle est pour moi un échec pour l’humanité et aux antithèses des valeurs de justice, d’équité et de fraternité qui unissent la communauté des Hommes. La justice ne peut pas être la mort, quelque-soit le crime. J’en suis viscéralement convaincue.
La condamnation de Serge Atlaoui provoque un fort émoi en Europe et tout particulièrement en France. Je partage cette émotion car de nombreuses zones d’ombres sont clairement apparues dans l’affaire judiciaire concernant Serge Atlaoui, doutes qui rendent de facto la décision d’une condamnation à la peine capitale incompréhensible alors que de nombreuses incertitudes résident dans ce dossier. De surcroit, j’ai l’intime conviction que le cri d’innocence lancé par cet homme est un cri de sincérité et de vérité.
Votre élection a été vécue en Indonésie mais aussi dans le monde entier, comme l’avènement d’une société plus bienveillante, dans un pays parmi les plus vastes et les plus importants du monde. En Europe, l’Indonésie est dorénavant associée à un pays qui condamne des hommes à la mort. Mon cœur saigne à l’idée que c’est cette image qui est ainsi envoyée au monde alors que l’Indonésie est un pays tellement ouvert, tolérant et fraternel.
Encore une fois, je ne me permettrais nullement de remettre en cause la souveraineté des lois de l’Indonésie et de l’exigence de ses citoyens de combattre avec force les fléaux de la drogue. Mais je ne peux me résoudre à voir un homme qui crie son innocence être condamné à la mort, à voir son épouse et sa famille rongées par la douleur. Notre monde vaut mieux que cela.
Vous avez la possibilité de rendre ce monde meilleur, moins violent, moins sanguinaire, moins brutal et plus juste. Je fais appel aux valeurs d’humanisme qui jalonnent votre combat personnel et la fille de Java que je suis vous implore d’accorder à Serge Atlaoui une grâce présidentielle.
Avec tout mon respect,
Anggun.
Ma lettre ouverte au Président de l'Indonésie au sujet de Serge Atlaoui
Monsieur son Excellence le Président Joko Widodo,
Comme vous le savez, je vis en France depuis plusieurs années. J’ai cette chance incroyable d’à la fois puiser dans la fierté de mes racines indonésiennes et la richesse de ma culture natale javanaise, et vivre dans un pays, berceau des droits de l’Homme, qui est une source d’inspiration pour la femme et l’artiste que je suis.
Je sais à quel point les Indonésiens sont sensibles aux ravages de la drogue dans le pays et la région, et je ne peux que m’associer à leur légitime indignation à ce sujet. Mais je suis également convaincue que la peine de mort n’est en aucune façon une solution pour faire baisser la criminalité ou de nous protéger des maux qui rongent notre société. Elle est pour moi un échec pour l’humanité et aux antithèses des valeurs de justice, d’équité et de fraternité qui unissent la communauté des Hommes. La justice ne peut pas être la mort, quelque-soit le crime. J’en suis viscéralement convaincue.
La condamnation de Serge Atlaoui provoque un fort émoi en Europe et tout particulièrement en France. Je partage cette émotion car de nombreuses zones d’ombres sont clairement apparues dans l’affaire judiciaire concernant Serge Atlaoui, doutes qui rendent de facto la décision d’une condamnation à la peine capitale incompréhensible alors que de nombreuses incertitudes résident dans ce dossier. De surcroit, j’ai l’intime conviction que le cri d’innocence lancé par cet homme est un cri de sincérité et de vérité.
Votre élection a été vécue en Indonésie mais aussi dans le monde entier, comme l’avènement d’une société plus bienveillante, dans un pays parmi les plus vastes et les plus importants du monde. En Europe, l’Indonésie est dorénavant associée à un pays qui condamne des hommes à la mort. Mon cœur saigne à l’idée que c’est cette image qui est ainsi envoyée au monde alors que l’Indonésie est un pays tellement ouvert, tolérant et fraternel.
Encore une fois, je ne me permettrais nullement de remettre en cause la souveraineté des lois de l’Indonésie et de l’exigence de ses citoyens de combattre avec force les fléaux de la drogue. Mais je ne peux me résoudre à voir un homme qui crie son innocence être condamné à la mort, à voir son épouse et sa famille rongées par la douleur. Notre monde vaut mieux que cela.
Vous avez la possibilité de rendre ce monde meilleur, moins violent, moins sanguinaire, moins brutal et plus juste. Je fais appel aux valeurs d’humanisme qui jalonnent votre combat personnel et la fille de Java que je suis vous implore d’accorder à Serge Atlaoui une grâce présidentielle.
Avec tout mon respect,
Anggun.