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13 Octobre 2013 , Rédigé par Admin Publié dans #NIBIRU - PLANETE X

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Fawkes News - Un lanceur d'alerte du DOD dévoile un...

12 Octobre 2013 , Rédigé par Admin

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Le bon cholestérol augmente le risque de cancer du sein

12 Octobre 2013 , Rédigé par Admin Publié dans #SANTE ET NATURE

On entend souvent dire qu’il existe du « mauvais » et du « bon » cholestérol. Une nouvelle étude vient remettre en cause ce concept. Le bon cholestérol, souvent considéré comme bénéfique, serait en réalité impliqué dans le développement du cancer du sein. Grâce à leurs travaux, les chercheurs espèrent mettre au point des stratégies pour contrecarrer cette maladie mortelle.

Communément perçu comme mauvais, le cholestérol constitue en réalité une graisse essentielle pour l’organisme. Il prodigue de la souplesse et de la force aux cellules et les protège des agressions extérieures.

Le cholestérol circule dans le sang grâce à deux types de transporteurs, les HDL (high density lipoproteins, ou lipoprotéines de haute densité) et les LDL (low density lipoproteins, ou lipoprotéines de basse densité). Les LDL, plus connues sous le nom de « mauvais cholestérol », sont chargées de transporter le cholestérol vers toutes les cellules de l’organisme. Lorsqu’elles fonctionnent mal ou qu’elles sont trop nombreuses, le cholestérol apporté aux cellules ne sera pas utilisé en totalité. Il va alors se déposer dans la paroi des vaisseaux pour former des plaques d’athérome, qui bouchent peu à peu les artères.


Le cancer du sein est le plus fréquent chez la femme et aussi le plus mortel, preuve de son agressivité. Ses causes sont multiples. Les HDL (ou « bon cholestérol ») seraient l'une d'entre elles. © Annie Cavanagh, Wellcome Images, Flickr, cc by nc nd 2.0

Les HDL, quant à elles, récupèrent le cholestérol en excès et le ramènent au foie pour qu’il l’élimine. Au contraire des LDL, elles sont appelées « bon cholestérol », car elles permettent de réduire les risques d’athérosclérose et d’accidents cardiovasculaires. Ces lipoprotéines participeraient également au maintien des capacités cognitives après 60 ans.

Le bon cholestérol, pas si bénéfique

Mais un mythe pourrait s’effondrer. L’année dernière déjà, une recherche remettait en cause le rôle des HDL dans la prévention des problèmes cardiaques. Dans une nouvelle étude, des chercheurs de l’université Thomas Jefferson (Philadelphie, États-Unis) incriminent les HDL pour une tout autre raison. Selon eux, ces lipoprotéines augmenteraient le risque de développer un cancer du sein. Leurs résultats sont publiés dans la revue Breast Cancer Research.

Comme souvent, cette étude a commencé par une simple observation. Les auteurs ont mis des cellules mammaires en présence de HDL et ont montré que cela stimulait les voies de signalisation impliquées dans la progression du cancer. Les cellules se sont également mises à migrer de manière caractéristique, comme cela se produit lors de la formation de métastases.

Bloquer les récepteurs aux HDL pour contrer le cancer

Pour confirmer ces résultats, les chercheurs ont modifié génétiquement les cellules mammaires pour qu’elles produisent moins de récepteurs aux HDL et qu’elles deviennent quasiment insensibles à l’action de celles-ci. Ils avaient vu juste : contrairement aux cellules originelles, les cellules mutantes n’ont pas amorcé d’activation des voies de signalisation du cancer et n’ont que peu migré.

Les scientifiques ont également montré qu’en bloquant les récepteurs grâce à un médicament appelé BLT-1, on pouvait parvenir au même résultat. En d’autres termes, le BLT-1 empêcherait les HDL de se fixer sur les cellules mammaires et les protégerait contre le cancer. « En enrayant l’activité des récepteurs HDL, on pourrait diminuer le risque de développer un cancer du sein tout en maintenant le niveau fondamental de HDL dans le sang », explique Philippe Frank, le directeur de l’étude.

Pour finir, les auteurs ont voulu tester cette approche chez la souris. Ils ont démontré que des animaux génétiquement modifiés possédant peu de récepteurs aux HDL formaient moins de tumeurs que les autres rongeurs. Cette étude met ainsi en lumière le rôle des HDL dans le développement du cancer du sein. Elle représente un point de départ pour le développement de nouveaux traitements contre cette pathologie.

Agnès Roux, Futura-Sciences

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Eau : un bien pour lequel les gens vont s’entretuer ?

12 Octobre 2013 , Rédigé par Admin Publié dans #SANTE ET NATURE

Par La Voix de la Russie | L’eau, cette source de vie sur notre planète, se transforme en une menace pour l’existence des Etats entiers. La population de la Terre augmentent et consomment de plus en plus de ressources naturelles. L’humanité risque de devoir faire face à une pénurie d’eau. Déjà aujourd’hui l’eau potable coûte plus cher que le pétrole. La soif pourrait être à l’origine des changements sur la carte politique du monde.

C’est le réchauffement climatique que vit la Terre en ce moment. On peut longuement parler des causes qui font grimper les températures mais le constat est bien là : la température annuelle moyenne ne cesse pas d’augmenter. Selon les prévisions d’un groupe d’experts international, dans 100 ans les températures augmenteront de 1,5-4 C°. Il faut savoir qu’il suffit de deux degrés de plus pour que les glaciers commencent à fondre. Ce sera une catastrophe pour certains pays tels que ceux d’Asie centrale qui risquent une forte sécheresse, affirme le directeur du programme « Climat et énergie » du Fonds mondial pour la nature (WWF), Alexeï Kokorine.

« Un glacier accumule l’eau qui tombe sur la terre sous forme de neige, et la rend peu à peu. S’il y a un glacier, les fleuves ont un niveau d’eau plus ou moins acceptable pendant toute la période estivale. S’il n’y a pas de glacier, il y a une forte crue au printemps lorsque la neige fond dans les montagnes, mais ensuite il n’y a plus d’eau du tout. C’est bien s’il y a des installations hydrotechniques modernes mais ce n’est pas toujours le cas et en plus elles coûtent très cher. Dans ces pays-là ce genre d’installations existent mais elles sont désuètes. »

La construction de barrages donne lieu à des litiges interétatiques. Le Nil traverse une dizaine de pays dont chacun doit respecter des quotas. Mais c’est l’Egypte qui a le plus d’eau, une pratique datant de l’époque coloniale. Le Caire s’oppose invariablement à toute tentative de dénoncer des accords et d’augmenter les quotas en faveur des autres Etats. Aujourd’hui l’Egypte est en proie d’une crise interne. L’Ethiopie a donc décidé de profiter du moment. C’est sur le territoire éthiopien que se situe l’embouchure du Nil Bleu qui alimente le fleuve avec le Nil Blanc. Les Ethiopiens ont lancé la construction d’un barrage en expliquant qu’ayant une possibilité d’irriguer leurs terres ils pourraient renoncer à des aides internationales. Ce n’est pas au goût des Egyptiens qui sont prêts à défendre leurs droits sur l’eau les armes à la main.

Les pays qui semblent ne pas avoir de problèmes d’eau ne sont assurés non plus contre des agressions extérieures. La population de la Terre augmentent et consomment beaucoup trop de ressources naturelles. Selon les calculs des Nations unies, il n’y aura plus de pétrole dans 50 ans, plus de gaz dans 60 ans et presque la moitié de la population de la planète souffrira de la manque d’eau douce dans 10 ans. Ce sera alors une guerre.

Quelle est la solution ? Economiser l’eau et faire appel aux technologies pour éviter une catastrophe écologique. L’eau ne se transformera alors pas en un bien pour la possession duquel les gens vont s’entretuer.

Natalia Kovalenko

La Voix de la Russie

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Nos Amis Les Grands Dauphins - Film Documentaire Français Complet 2013

12 Octobre 2013 , Rédigé par Admin Publié dans #DOCUMENTAIRE

Nos Amis Les Grands Dauphins - Film Documentaire Français

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susan langlen

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La Tour de babel - Film Documentaire Français Complet 2013

12 Octobre 2013 , Rédigé par Admin Publié dans #DOCUMENTAIRE

La Tour de babel - Film Documentaire Français

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susan langlen

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Howard Carter et sa mort mystérieuse - Film Documentaire Français Complet 2013

12 Octobre 2013 , Rédigé par Admin Publié dans #DOCUMENTAIRE

Howard Carter et sa mort mystérieuse - Film Documentaire Français

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susan langlen

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Sous l'impact du changement climatique, l'eau de surface se raréfie dans le sud de la France

12 Octobre 2013 , Rédigé par Admin Publié dans #SANTE ET NATURE

Une étude réalisée par l'Office national de l'eau et des milieux aquatiques (Onema) et l'Institut national de recherche en sciences et technologies pour l'environnement et l'agriculture (Irstea) montre que sous l'impact du changement climatique, l'eau de surface se raréfie dans le sud de la France.

Ce qui est longtemps resté une hypothèse est à présent confirmé. Au-delà de la pression grandissante imputable à la démographie et à l'urbanisation, à l'agriculture et à l'énergie, l'augmentation des températures moyennes – qui a d'ailleurs un impact plus sensible que les modifications du régime des précipitations – suscite une aggravation des sécheresses.

L'étude de l'Onema s'appuie sur le patrimoine statistique exceptionnel de la France dans ce domaine. Les auteurs – Ignazio Giuntoli, Pascal Maugis, Bénédicte Augeard et Benjamin Renard – ont analysé les données collectées quotidiennement par 236 stations hydrométriques en métropole et 14 dans les départements d'Outre-mer depuis au moins quarante-cinq ans. Celles-ci mesurent l'importance des étiages (lorsque le niveau de la rivière est au plus bas), le débit annuel moyen, les hautes eaux.

SÉVÉRITÉ ET PRÉCOCITÉ DES PÉRIODES DE SÉCHERESSE

Les stations sélectionnées analysent des cours d'eau qui n'ont pas été bouleversés de façon conséquente soit par la construction d'un barrage hydroélectrique ou de tout autre aménagement, soit parce que ces rivières n'ont pas subi de prélèvements importants sur une longue période. Ces données journalières ont été passées au crible : la sévérité des étiages en particulier, c'est-à-dire l'importance du déficit en eau, la durée de la période de sécheresse et la précocité à laquelle celle-ci se produit dans la saison.

Une fois nourris de ce travail, les modèles mathématiques indiquent une incontestable aggravation du manque d'eau pour la période 1967-2007 dans plusieurs régions de la moitié sud de la France : dans les Pyrénées, le Massif central, le Jura, ainsi qu'en Aquitaine et sur le pourtour méditerranéen. Dans le sud-est du territoire et dans quelques cours d'eau de Bretagne, la saison des étiages a en outre tendance à commencer de plus en plus tôt.

Au chapitre des hautes eaux, qui peuvent se traduire par des inondations, les auteurs se montrent plus circonspects dans leurs conclusions. Ils notent cependant une tendance à l'augmentation du maximum annuel de débit dans le nord-est qui peut croître au rythme de 3 % à 5 % par décennie. Quel que soit l'indicateur retenu, les différentes cartes de cette étude laissent apparaître des signaux d'alarme nets pour les départements situés aux contreforts des Pyrénées où de vives tensions existent déjà en été pour l'accès à l'eau.

Prudemment, les auteurs ne prennent pas le risque de présenter ces tendances à la raréfaction de l'eau comme une preuve irréfutable du réchauffement de la planète, compte tenu du rôle possible des oscillations climatiques. Il n'empêche, écrivent-ils, ce panorama qui, contrairement à la précédente étude de 2006, est "statistiquement significatif", met en évidence "une situation de tension sur la ressource", confirmée par de nombreuses observations de terrain.

Source : ONEMA

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